Les grands et les migrants. Quel fut mon étonnement (pas tant que cela) de voir cette...

Les grands et les migrants.

Quel fut mon étonnement (pas tant que cela) de voir cette comparaison revenir au galop.

A rien ni comprendre, sommes-nous donc, une race arienne pouvant qualifier une autre de sous-homme, les chemises brunes sont de remise pour certains amnésiques, du haut de leurs miradors ils protègent la mère patrie contre les sarrasins que -leurs-services secrets sont allés déstabiliser dans -leurs- anciennes colonies, effet boomerang.

Les grands regardant de haut ses migrants, une moitié d'homme même pas bon pour -leurs- camps de rétention, leurs préférant ceux de concentration construits par -leurs- grands-pères.

Marinés par un front de haine ils récitent leurs prières inlassablement bien apprises aux presbytères le bras droit tendu vers leurs propres mépris. Engoncés dans leurs pantoufles et leurs propagandes ils oublient de vivre libres de corps sans esprits.

Jean-Luc Oudoul.05septembre2015